Un abonnement mensuel, résiliable à tout instant, permet l’accès illimité à la plateforme logicielle.

Aucune donnée nominative ou personnelle du patient n’est demandée. Un identifiant unique (aléatoire) identifie chaque fiche-patient. C’est au médecin de conserver la correspondance entre le numéro unique généré par la plateforme logicielle et l’identité de son patient.

C’est votre adresse email qui est votre identifiant de connexion. Le mot de passe vous a été fourni automatiquement par la plateforme logicielle après validation de votre paiement.

Vous pouvez résilier à tout moment votre abonnement à la plateforme logicielle DIGITHLA.

Depuis la découverte du système HLA (en 1964), de nombreux travaux ont montré des probabilités augmentées, ou diminuées, de déclencher une maladie selon les allèles HLA du patient.

La plateforme DIGITHLA répertorie des centaines de relations entre comorbidités et allèles, et permet une visualisation rapide, pertinente et simple des comorbidités associées à l’immunité innée du patient.

L’évolution morbide ne suit pas uniquement les probabilités, elle dépend aussi de l’historique médical de l’individu et de son mode réactionnel, lequel peut être apprécié via un simple questionnaire de vie.

L’interface ergonomique de la plateforme DIGITHLA permet de fournir très simplement toutes les informations utiles pour un meilleur diagnostic.

Chaque maladie se caractérise également par ses liens éventuels avec les réactions post-vaccinales, tuberculiniques et porphyriques, les terrains cœliaque et psoriasique, et les caractéristiques ethniques de l’individu.

La plateforme DIGITHLA tient compte de l’influence des différents terrains sur les comorbidités.

Des questions telles que :

• Peur des aiguilles ?
• Aime les pommes de terre ?

peuvent surprendre. Pourtant, « la peur des aiguilles » identifie une intoxication à l’aluminium ou au silicium.

La différenciation entre aluminium et silicium dépend du fait que l’on « aime les pommes de terre » (silicium) ou qu’on les déteste (aluminium).

Disponible sous 15 jours (habituellement 3 jours ouvrés), l’analyse détaillée nécessite de fournir l’historique médicale, de répondre au questionnaire de vie quotidienne et d’indiquer l’haplotype HLA du patient. Il n’est pas nécessaire d’être abonné à la plateforme logicielle pour pouvoir demander des analyses détaillée.

Il suffit de remplir le « consentement pour la réalisation d’examens de génétique » (signature conjointe du patient et du praticien). Après quoi, une simple prise de sang suffit. C’est le médecin qui reçoit l’haplotype du patient. Il y a deux laboratoires (CERBA et ALPIGEN) capables de réaliser cet examen. Le formulaire d’autorisation est ci-dessous, avec un exemple de remplissage éventuellement :

Certains allèles déterminent un mimétisme moléculaire qui fait de certaines cellules saines, une cible pour le système immunitaire parce que les molécules étrangères (initialement ciblées) sont analogues à des protéines du « soi » exposées sur la paroi des cellules.

1. Aluminium
2. Argent
3. Arsenic
4. Béryllium
5. Cadmium

La plateforme DIGITHLA tient compte des données génétiques et épigénétiques, des mimétismes moléculaires et des terrains pour calculer la liste des maladies les plus probables parmi :

• les maladies auto-immunes,
• les maladies cardiovasculaires,
• les maladies neuro-dégénératives,
• les cancers et
• les hémopathies.

1. Ac DNA positifs
2. Acute myeloid leukemia
3. Adénome colorectal
4. Allergie
5. Allergie au riz
6. Allergy to insulin

A qui s’adresse le diagnostic HLA ?

Le médecin est seul habilité à prescrire un système HLA complet. Il est également le seul à pouvoir accéder au logiciel DIGITHLA (conformément aux articles R.1131-4 et R.1131-5 du code de la santé publique, et en référence au décret n°2008-321 du 4 avril 2008 – arrêté du 27 mai 2013).

Les personnes qui souhaitent une interprétation détaillée de leur système HLA doivent donc se rapprocher de leur médecin